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Article publié le 27/04/2018
MISE AU POINT ET SEANCE DE RATTRAPAGE

MISE AU POINT

 

Le Maire de Cavalaire, Philippe Léonelli, mis en cause juridiquement dans la passation des marchés de restructuration du Port de Cavalaire, tente une contre-attaque en essayant de me discréditer, de noyer le voyage à Dubaï sous de l’humour au sujet d’un déplacement à St Raphaël et de justifier un séjour en Roumanie afin de faire économiser des frais d’architecte à la commune.

Je savais qu’un certain nombre de patients se rendent en Roumanie pour faire pratiquer des implants dentaires, mais je n’avais jamais encore entendu parler d’architectes low-cost ! Comme quoi, on en apprend tous les jours.

Plus sérieusement, j’aurai l’occasion de revenir sur chacun des points qui me sont incriminés, de la même manière avec laquelle j’ai réagi sur les travaux soi-disant non effectués par Monsieur Lenormand sur le Port de Mandelieu, mais qui figurent, chacun pourra le vérifier sur le site de Corinthe Ingénierie, comme références professionnelles.  

En attendant, ce n’est pas moi qui ai ouvert une enquête préliminaire, ce n’est pas moi qui ai levé le lièvre et ce n’est pas moi qui suis allée à Dubaï, Bucarest et Marrakech.

Au lieu de porter des attaques contre moi et de reporter le débat sur le terrain politique, avec le gentil Philippe Léonelli blanc comme neige face à la vilaine Annick Napoélon rancunière, il ferait mieux de se concentrer sur sa défense. L’affaire est sérieuse et portée au plan judiciaire. Elle mérite toute son attention.

Je le redis, la Maire honoraire que je suis est atterrée pour notre commune et les cavalairois. Ces affaires judiciaires ternissent la notoriété de notre station balnéaire, qui plus est, à l’orée de la saison estivale.

J’espère que Philippe Léonelli saura en prendre la mesure et s’attacher à une défense digne de ce nom. 

Il me vient à l’esprit une réplique du « Château de ma mère » de Marcel Pagnol :

« Comme on se défend mal Marcel, quand on est pris en défaut »

Annick NAPOLEON

 


 

ARTICLE VAR-MATIN DU 23 AVRIL : SEANCE DE RATTRAPAGE

Si vous attendiez le bilan de mi-mandat de notre maire, vous l’avez obtenu en lisant le quotidien local de lundi 23 avril dans des propos plutôt laudatifs et bienveillants tout à sa gloire.

Mais, dans cet article nous y trouvons plusieurs omissions ou inexactitudes. En voici quelques exemples :

  • MAISON DE LA NATURE : il est écrit que « son coût final dépassera légèrement le million d’euros » alors que le budget voté lors du dernier conseil municipal (conseil auquel le journaliste, rédacteur de cet article était présent) est de 1 483 792€ TTC soit une différence de plus de 400 000€. Une paille !!!

De plus, c’est un projet non prévu dans le programme du candidat. Evidemment, cela n’est pas dit dans l’article.

  • EXTENSION-REHABILITATION DE LA CRECHE : dans l’article, il est annoncé que l’enveloppe est  de 900 000€. Or, le montant voté lors du dernier conseil est de 1 250  000€ TTC.

    En février 2015, le maire avait annoncé un coût de 567 000€ TTC, soit deux fois moins. Cela n’est pas dit non plus dans l’article.

Pour rappel : ces travaux devaient démarrer en 2016 et être financés à hauteur de 80% par la CAF au lieu de seulement 21,5% aujourd’hui. En effet, la mairie ne s’était pas assurée que ces travaux pouvaient répondre aux critères retenus par la CAF pour pouvoir bénéficier d’un financement à cette hauteur.

  • RENOVATION DE LA PLACE SAINTE-ESTELLE : aujourd’hui, le montant estimatif de cette rénovation est de 1 019 117,76€ TTC (auquel il faut encore rajouter le coût de l’étude du cabinet CORINTHE) alors qu’il était annoncé dans le programme du candidat pour 618 420€ HT (soit 742 104€ TTC). De plus, ces travaux devaient démarrer en septembre 2014 comme annoncé dans le Var-Matin de juin 2014. Retard non évoqué dans cet article.

  • GARE ROUTIERE : elle devait accueillir l’espace archéologique. C’était une promesse de campagne qui n’est encore pas respectée. Mais, cela n’est pas précisé dans cet article.

  • TRAVAUX DU PORT : fin janvier 2018, dans VAR-MATIN, la mairie nous informe que les travaux de consolidation de la falaise et de démolition d’AZUREVA débuteraient le 1er mars. L’article de lundi laisse à penser que l’avancement de ces travaux suit son petit bonhomme de chemin bien tranquillement sans aucune anicroche ou contretemps, alors que le marché public associé à ces travaux a été classé sans suite. Cette annonce a été faite lors du dernier conseil municipal auquel, je le rappelle, le journaliste rédacteur de cet article était présent.

 

De plus, dans cet article qui énumère les chantiers initiés par le maire depuis le début de son mandat, il n’est nullement souligné qu’aucun des grands projets « structurants », promis par le candidat pendant sa campagne électorale, n’ont encore été démarrés. Pourtant, dans ce bilan de mi-mandat, en toute objectivité, il aurait été intéressant et nécessaire d’en informer les cavalairois.

 

Annick NAPOLEON

Stéphanie VIGUIER

Christine DOMINGUEZ

José SEGOVIA

Jean-Michel GUILLAUD


 

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